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It’s Masters week… Augusta, it’s you that I love!

Parce qu'il est le 1er de l'année, parce qu'il se joue sur le même parcours depuis l'origine, parce qu'il propose la crème de la crème, parce qu'il annonce le printemps, ... Peu importe, chacun y trouve une explication pour justifier cette excitation annuelle de vivre à nouveau la "Masters week".

C’est la semaine du Masters, les joueurs sont à Augusta, en Géorgie, et nous, partout à travers le reste du monde, prêts à enchaîner les heures derrière nos écrans en tout genre. Le Masters a beau être le plus jeune des 4 Majeurs, encore loin d’être centenaire (83e édition en 2019), il envoûte très souvent plus que les 3 autres. Parce qu’il est le 1er de l’année, parce qu’il se joue sur le même parcours depuis l’origine, parce qu’il propose la crème de la crème, parce qu’il annonce le printemps, … Peu importe, chacun y trouve une explication pour justifier cette excitation annuelle de vivre à nouveau la “Masters week”.

Mais que peut-on écrire qui n’ait pas été écrit 100 fois et lu au moins 10 fois par chaque lecteur passionné de golf ? C’est déjà le 7e Masters depuis la création de La Petite Balle Blanche et pas moins d’une 40aine d’articles existent sur le sujet. En fin d’article, vous y trouverez une petite sélection, juste pour le cas où ! 😉

Depuis les origines du tournoi, en passant par le trou par trou de l’Augusta National, son palmarès depuis 1934, ses anecdotes et ses traditions jusqu’au prix des fameux sandwiches Pimento Cheese, il n’y a certainement pas grand chose qui vous a échappé depuis que vous suivez le Masters.

(Et, pour le côté sportif de cette édition 2019, quels sont vos favoris pour succéder à Patrick Reed ? Les nôtres sont là : les paris de LPBB pour le Masters)

Donc chaque année, c’est le même refrain, Magnolia Lane, Amen Corner, Patrons, Green Jacket and co, fredonnés sur cette même musique, unique, qui est au golf, ce que le morceau “Champions League” est au football. D’ailleurs, saviez-vous que le célèbre morceau entendu pendant la semaine d’Augusta n’est pas qu’une simple pastille musicale mais bien une chanson écrite en 1981, jouée pour la première fois aux Masters 1982 ?

Son auteur Dave Loggins a eu la chance de découvrir l’Augusta National un jour de printemps en 1981. La beauté du décor qui l’entourait, et notamment le Par4 du 14 (vous avez 20 secondes pour me donner son nom…), lui inspirait des premières paroles. Et puis de fil en aiguille, parce que Loggins était l’ami d’un ami du producteur Golf sur la chaîne américaine CBS, il écrivait sa chanson et composait le plus fameux “hit” de sa carrière.
[Ding ! Le trou 14 se nomme Chinese Fir. Révise les noms des 18 trous ici et ici ;-)]

Well it’s springtime in the valley on Magnolia Lane
C’est le printemps dans la vallée sur Magnolia Lane
It’s the Augusta National and the master of the game
C’est l’Augusta National et le maitre du jeu
Who’ll wear that green coat on Sunday afternoon?
Qui portera la veste verte dimanche après-midi ?
Who’ll walk the 18th fairway singing this tune?
Qui remontera le fairway du 18 en chantant cette chanson ?
Augusta, your dogwoods and pines
Augusta, tes cornouillers et tes pins
They play on my mind like a song
Ils jouent dans ma tête telle une chanson
Augusta, it’s you that I love
Augusta, c’est toi que j’aime
And it’s you that I’ll miss when I’m gone.
Et c’est toi qui me manquera quand je serai parti
It’s Watson, Byron Nelson, Demaret, Player and Snead.
C’est Watson, Byron Nelson, Demaret, Player et Snead (¹)
It’s Amen Corner and it’s Hogan’s perfect swing
C’est l’Amen Corner and le swing parfait de Hogan
It’s Sarazen’s double eagle at the 15th in ‘35
C’est l’Albatros de Sarazen sur le 15 en (19)35
And the spirit of Clifford Roberts that keeps it alive
Et l’esprit de Clifford Roberts qui le maintient en vie
Augusta, it’s you that I love
Augusta, c’est toi que j’aime
And it’s you that I miss when I’m gone
Et c’est toi qui me manquera quand je serai parti
It’s the legions of Arnie’s Army and the Golden Bear’s throngs
Ce sont les légions de l’armée d’Arnie et les foules de l’Ours Blond (²)
And the wooden-shafted legend of Bobby Jones.
Et les shafts en bois du légendaire Bobby Jones


(¹) Tom Watson, vainqueur de son 2e Masters en 1981 (1er en 1977), Byron Nelson (1937), Jimmy Demaret (1940, 1947, 1950), Gary Player (1961, 1974, 1978) et Sam Snead (1949, 1952, 1954)

(²) Surnoms de Arnold Palmer (1958, 1960, 1962, 1964) et Jack Nicklaus (1963, 1965, 1966, 1972, 1975 et 1986)


Peut-être aurez-vous finalement appris quelque chose encore aujourd’hui, mais quoiqu’il en soit, c’est la semaine du Masters et moi j’adore !

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