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Parlez-vous clubmaking et clubfitting ? Le vocabulaire à connaître

Arnaud, nouveau contributeur LPBB, clubmaker et clubfitter indépendant vous propose un tour d'horizon du vocabulaire golfique lié à votre swing et à vos clubs. 

Notre nouveau contributeur Arnaud MAURIN, clubfitter & clubmaker indépendant, vous propose un petit lexique utilisé par les spécialistes du matériel. Que vous vous décidiez à réaliser un clubfitting, à changer de matériel, ou tout simplement pour parfaire vos connaissances sur le clubmaking, tour d’horizon du vocabulaire golfique lié à votre swing et à vos clubs. 

A

 

 

Acier carbone : matériau utilisé dans le forgé. Il existe différents types : le S20C, S25C, S35C… plus le chiffre est faible, plus le contact de balle sera doux.

Alignement (de shaft) : technique utilisée par les artisans de clubmaking qui consiste à localiser l’épine du shaft (ligne invisible la plus résistante à la torsion) et aligner le shaft en conséquence. Celui-ci ne sera quasiment jamais aligné avec le logo !

Angle d’attaque (AoA) : lors du swing, le golfeur aura un angle d’attaque différent selon les clubs. Un angle d’attaque descendant est recommandé pour les fers et les wedges alors que pour les bois on cherchera davantage un AoA neutre voire emontant pour optimiser la distance.

Angle de face : il est possible chez certains fabricants de « fermer » ou « ouvrir » l’angle d’ouverture d’une face de bois ou d’hybride. Parfois, c’est le seul remède pour corriger un slice ou un hook chronique…

B

 

 

Balance point : point d’équilibre du shaft. La répartition du poids d’un shaft varie d’un modèle à l’autre. Certains auront plus de poids en bas, d’autres, en haut. Ce point d’équilibre influence l’équilibre général du club.

Balance (a swingweight) : machine inventée par le clubmaker Robert Adams dans les années 1920 et toujours utilisée aujourd’hui par les fabricants. Cette balance permet de définir l’équilibre global d’un club de golf, en utilisant des lettres (de A à E) et des chiffres (de 0 à 9).

Ball speed : vitesse de balle. Critère très important lors d’un fitting qui permet de comparer plusieurs clubs.

Backspin : toute balle de golf frappée par un club a un taux de rotation par minute (RPM) qui sera notamment influencé par le design de la tête, le shaft, le poids du club.

Bend profile : profil de flexion d’un shaft. C’est la mesure la plus rigoureuse pour définir aujourd’hui la rigidité réelle d’un shaft en le mesurant à plusieurs intervalles en CPM (cycles par minute).

Bend point : point de flexion du shaft, aussi appelé Kick point ou Flex point.Un shaft peut avoir un point de flexion haut (balle basse) ou un point de flexion bas (balle haute). Mesure intéressante mais très vague d’un point de vue scientifique, qui ne permet pas de comparer des shafts entre eux.

Bois de parcours : si l’on trouve majoritairement des bois 3 et 5 dans le sac des golfeurs, les bois 4,7 et 9 sont pourtant souvent la meilleure alternative pour des golfeurs à vitesse de swing modérée ou lente. On les trouve heureusement encore chez certains fabricants.

Bounce : c’est l’angle, en degrés, de l’arrière de la tête à l’avant de la tête lorsqu’elle repose à plat.Tous les fers ont un certain bounce mais c’est surtout sur les wedges qu’il faudra y faire attention. Selon l’angle d’attaque du joueur et / ou le type de parcours joué, utiliser un wedge à faible bounce ou bounce élevé peut vraiment être très utile (éviter des tops ou des grattes). Les pros l’ont bien compris, qui changent de bounce selon les parcours qu’ils jouent.

Butt : la partie haute du shaft (sous le grip).

C

 

 

Cast : terme utilisé pour désigné un fer « moulé ».

Cavity back : fer avec une cavité permettant d’augmenter le M.O.I et de jouer sur le centre de gravité. Les « CB » ont été popularisées dans les années 70 en se basant sur l’étude des raquettes de tennis !

CPM : cycles par minute. C’est l’unité de mesure utilisée aujourd’hui pour définir la rigidité d’un shaft (voir bend profile).

Clubmaker : « artisan » qui fabrique (assemble) des clubs de golf dans un atelier selon un cahier des charges très rigoureux défini après un fitting.

Clubfitter : personne qui cherche à comprendre toutes les variables (statiques et dynamiques) permettant d’optimiser un ou plusieurs clubs de golf, c’est à dire l’optimisation de la distance, de la précision, de la dispersion et du « feeling » d’un joueur en particulier.

Centre de gravité : c’est l’intersection des CG (d’une tête de club) horizontaux, verticaux et « en profondeur ». Le CG aura une influence sur la trajectoire de balle et le taux de spin, notamment sur un driver.

Counterbalanced : ce terme désigne un club dont on a contre-balancé le poids en rajoutant du poids vers le grip. Technique utilisée par Jack Nicklaus dans les années 50, elle revient en force actuellement avec des shafts dits « CB » ou « HB » qui sont contrebalancés. Tiger Woods et Rory MacIlroy en sont des exemples.

COR : Coefficient de Restitution. Depuis 1998, tous les clubs sont limités à un COR maximum de 0,83 (83% de restitution d’énergie à la balle). Cette limite a été rapidement atteinte sur les drivers et bois de parcours, de sorte qu’il existe aujourd’hui des drivers « illégaux » qui ont un COR supérieur à 0,83.
Pour l’anecdote, 0,1 de COR en plus = 2 mètres de distance en plus !

Cup Face : technique qui permet d’augmenter le COR sur une face de bois ou de fer. On peut parler d’effet « trampoline ».

D

 

 

Diamètre (de shaft) : Historiquement, les shafts ont eu des diamètres bien différents. Pour un ingénieur de shafts, jouer sur le diamètre est la façon la plus commune pour altérer la flexibilité d’un shaft : plus le diamètre est épais, plus le shaft est rigide et vice-versa.

Driver : le club le plus « puissant » du sac du golfeur, ayant énormément évolué ces 30 dernières années et étant soumis a des règles très strictes par l’USGA et le R&A : limitation du COR, limitation du volume, limitation de la taille, limitation du M.O.I …

E

 

 

Equilibre : l’équilibre d’un club de golf est une notion centrale pour la performance du golfeur. Chaque joueur va « ressentir » cet équilibre de façon très individuelle et il n’y a pas de recette miracle pour définir le meilleur équilibre. Seule l’expérimentation et du temps lors d’un fitting permettra de le déterminer. On peut noter que les clubs pour homme sont pourtant (depuis les années 50!) équilibrés de la même façon (en D2) et pareil pour les femmes (C7).

Etalonnage : un des aspects clés d’une bonne série de clubs est d’avoir un étalonnage cohérent entre chaque club. Un fitting permettra de vous aider si ce n’est pas le cas.

vocabulaire du clubmaking et clubfitting
Arnaud Maurin dans son atelier

F

 

 

Face balanced : terme designant un putter qui, lorsque tenu en équilibre sur un doigt, va voir sa face parallèle au sol. Beaucoup de putters « maillet sont face balanced et favorisent un chemin « droit – droit ».

Ferrule : petite partie en plastique faisant la jonction entre la tête et le shaft, dans un souci d’esthétique.

Fers : en 1945, le R&A décide qu’il y aura 14 clubs dans le sac, et pas plus. De là le système de numérotation des fers que l’on connait aujourd’hui, du plus fermé (fer 2) au plus ouvert (10, ou PW).

Flat : un club peut être amené à être « tordu » plus flat pour un joueur (en principe de petit gabarit) afin d’améliorer son contact de balle et la direction de ses coups. Les joueuses du LPGA ont ainsi en moyenne des « lie » réglés 2° flat.

FLOing : Flat Line Oscillation. Technique au laser qui permet l’alignement de shaft.

Forgé : technique de fabrication d’une tête de fer avec de l’acier carbone et utilisant des presses pour comprimer l’acier. Les forges américaines et européennes ont disparu et on ne les trouve plus aujourd’hui qu’en Asie, principalement au Japon.

Fréquence (de shaft) : dans les années 70, le père de Kim Braly (fondateur de KBS) a été à l’origine de ce qu’on appelle le « frequency matching » c’est à dire l’homogénéisation de la flexibilité sur une série de fers. A l’époque il utilisait le Hertz comme mesure, et non le CPM.

G

 

 

Game improvement : nom donné à une catégorie de fers très « faciles » à jouer, avec de larges semelles qui peuvent parfois les faire ressembler à des hybrides. A recommander pour des débutants ou des golfeurs ayant beaucoup de mal à lever la balle.

Grip : il existe aujourd’hui une grande variété de grips en termes de poids, de texture (doux, semi cordé, cordé) et de taille (undersize, standard, midsize, jumbo). On peut regretter que beaucoup de golfeurs n’accordent aucune attention à leur grips, et c’est pourtant la seule partie du club en contact avec les mains ! Il y a des grips pour certains climats, des grips pour ceux qui souffrent d’arthrose … c’est une partie intégrante d’un bon fitting.

Graphite : les premiers shafts en graphite sont apparus au début des années 1970 en Californie avec la marque ALDILA. Mais il faut attendre les années 1990 pour qu’ils deviennent populaires auprès des joueurs pros et amateurs.

Grinds : to « grind » en anglais signifie meuler, aiguiser. Et l’on retrouve sur certains wedges beaucoup de grinds différents qui permettront de peaufiner son jeu d’approche.

H

 

 

Hickory : l’essence de bois massivement utilisée par les premiers artisans de clubmaking, jusque dans les années 1920 où il sera supplanté par l’acier. Aujourd’hui il existe des Associations de « fans » de clubs en Hickory, et même un US Open !

High launch : se dit soit d’une tête de driver qui va avoir un angle de lancement plus élevé que la moyenne, soit d’un shaft favorisant un angle de lancement plus haut que la moyenne.

Hosel : toute tête de golf (à part certains putters) ont un hosel (tige)
qui permet d’insérer le shaft et le maintenir de façon sécurisée. Les hosels peuvent avoir des diamètres différents selon les fabricants.

Hybride : type de club popularisé par Taylor Made au début des années 2000, à mi chemin entre un long fer et un bois de parcours.

Hertz : mesure utilisée à la fin des années 1970 pour mesurer la fréquence d’un shaft par le père de Kim Braly. Celui ci s’en servira pour concevoir les fameux shafts RIFLE et PROJECT X. Ainsi, la codification « 5,0 » correspond à une fréquence de 5 Hertz.

Hotmelt : technique « secrète » de certains professionnels de clubmaking permettant d’injecter du poids dans une tête de bois. Très courant sur le circuit pro.

L

 

 

Lady : désignation remontant aux années 1940, pour une flexibilité de shaft « pour femme» d’un golfeur amateur. Mais avec la multiplication des marques et des modèles de shafts aujourd’hui, cette codification n’a aucune valeur scientifique …

Lame : terme désignant une tête de fer épurée, aussi appelée « muscle back » ou « blade ». Les lames sont encore jouées par de nombreux professionnels et amateurs de bas index, qui y trouvent des sensations bien particulières et un « feedback » direct (récompensé sur un bon coup, puni sur un mauvais coup).

Launch angle : mesure au radar permettant de voir l’angle de lancement après l’impact. Cet angle de lancement doit être optimisé pour chaque golfeur car, pour une vitesse de swing donnée correspond au angle de lancement optimal. En résumé : plus la vitesse de club diminue, et plus il faut augmenter son angle de lancement !

Lead tape : bande de plomb autocollante qui permet d’alourdir une tête de club. On en voit beaucoup lorsqu’on s’approche des sacs de joueurs professionnels !

Longueur (de club) : à mon sens, la première chose à étudier lors d’un clubfitting ! Historiquement, les clubs se sont rallongés un peu sur les fers et beaucoup sur les bois et drivers, ce qui est souvent au détriment du golfeur (golfeuse). Car certes un driver rallongé peut générer plus de distance, mais il peut surtout générer beaucoup de dispersion et de mauvais contact de balle … pour in fine diminuer la distance ! Pour info, la moyenne des drivers des joueurs du Tour aux USA est de 44,75”, alors que les drivers vendus de façon « standardisée » mesurent 45,5” voire 46” !

Loft : C’est l’angle de la face qui permet de générer la distance et le vol de balle. Historiquement, les lofts des bois et drivers n’ont quasiment pas changé, tandis que les fers ont vu leurs lofts considérablement abaissés ces 20 dernières années. Ainsi, dans les années 1980, un fer 7 avait un loft moyen de 43° alors qu’en 2020 la moyenne des pros est de 34° ! Et la moyenne en boutique est aux alentours de 31° … Raison pour laquelle les fers 1,2,3,4 et bientôt 5 ont disparu des sacs de nombreux joueurs amateurs !

Lie : c’est l’angle formé entre la semelle du club et le shaft lorsqu’il repose au sol. La mesure du lie doit être faite de façon dynamique afin de déterminer le meilleur réglage pour un joueur en particulier. Ce réglage aura une grande incidence sur la direction des coups, notamment sur les fers et les wedges, ainsi que le putter.

Low spin : se dit soit d’une tête de driver avec un centre de gravité en avant favorisant moins de spin (plus de roule), soit d’un shaft favorisant la réduction du taux de spin.

M

 

 

Mesure poignet-sol : mesure importante pour déterminer la longueur des fers et des wedges. Ne peut pas s’appliquer aux bois et au putter.

Mid : c’est la partie centrale du shaft.

M.O.I : Moment d’Inertie. Il faut distinguer :

  • Le M.O.I de la tête : plus le MOI est grand, et plus la tête pardonnera les décentrages. Raison pour laquelle l’USGA et le R&A ont fixé en 2006 une limite au MOI des têtes de drivers à 5900 gr/cm2.
  • Le M.O.I du club : dans les années 1990, des ingénieurs américains ont remis en question la notion de swingweight (équilibre statique d’un club) et ont avancé l’idée qu’il était plus logique de régler des clubs à MOI constant, générant ainsi des sensations parfaitement identiques de club à club. Cette notion est aujourd’hui validée par les plus grands clubmakers.

Moulé : technique de fabrication d’un fer popularisée par le fondateur de PING, Karsten Solheim, dans les années 1960/70. Le fer est fabriqué à base de liquide chaud introduit dans des moules en cire. Cette technique représente aujourd’hui environ 85% des fers vendus dans le monde. Mais il reste 15% de « puristes » du forgé !

O

 

 

Offset : c’est l’écart que l’on voit, à l’adresse, entre le centre du hosel et l’avant de la tête (leading edge) . Certains clubs ont peu ou pas d’offset, d’autres auront plus d’offset. Plus d’offset permet de ramener plus facilement la face « square » à l’impact et aussi de lever plus facilement la balle. Raison pour laquelle les clubs « game improvement » ont plus d’offset.

P

 

 

Paint fill : technique utilisée permettant de peindre les gravures (logo, chiffres, …) sur une tête de fer ou de wedge.

Poids : un clubmaker peut « jouer » sur le poids du grip, du shaft, et de la tête.
Les variations sont telles qu’elles mériteraient un article entier à ce sujet !

Pointe : zone du club la plus éloignée du shaft. Un golfeur ayant tendance à frapper en pointe aura intérêt à se poser des questions sur la longueur de ses clubs et leur équilibrage.

Profil de shaft : voir « bend profile ».

Putter : le club le plus important dans le sac (43% des coups en moyenne sur une carte) et pourtant le plus négligé lors du clubfitting par les amateurs. Il nécessite pourtant un réglage sur mesure des plus pointus !

R

 

 

Rainures : elles permettent (comme pour un pneu de voiture) une meilleure friction avec la balle, générant un meilleur backspin. En 2010, les autorités ont légiféré sur un volume maximum pour les rainures, entrainant des changement notamment sur les wedges.

Regular : désignation remontant aux années 1940, pour une flexibilité de shaft « standard » d’un golfeur amateur. Mais avec la multiplication des marques et des modèles de shafts aujourd’hui, cette codification n’a aucune valeur scientifique …

Release : phase de relachement des poignets lors du downswing qui peut être précoce, mediane ou tardive selon les golfeurs. Ce moment de relachement a une grande incidence sur le choix du shaft au niveau de son « tip ».

Retro-fitting : technique qui consiste à gader un composant (souvent, la tête) et changer les autres paramètres d’un club : son shaft, son poids, son grip, son équilibre …

S

 

 

Shaft : contrairement à ce que certains prétendent, le shaft n’est pas le « moteur » du club … c’est vous, le golfeur, qui êtes le moteur ! Un shaft est juste la transmission. Ce qui est vrai, en revanche, c’est que c’est une variable clé de performance pour un joueur en particulier, et qui demande un clubfitting en profondeur. On trouve aujourd’hui des shafts allant de 35 grammes à 130 grammes.

Side spin : mesure au radar permettant de voir la dispersion latérale (droite ou gauche) par rapport à une cible.

Smash factor : c’est le ratio vitesse de balle / vitesse de club. Cela mesure la capacité d’un joueur à transférer de l’énergie à la balle à l’impact par rapport à sa vitesse de club. On peut donc tout à fait avoir une vitesse de club lente mais un smash factor très élevé.

Stiff : désignation remontant aux années 1940, pour une flexibilité de shaft « rigide» d’un golfeur amateur. Mais avec la multiplication des marques et des modèles de shafts aujourd’hui, cette codification n’a aucune valeur scientifique …

Steelfiber : nom générique d’un shaft américain très utilisé sur le circuit pro sénior et LPGA à base de fibres d’acier (mélange de graphite et d’acier).

Sweetspot : c’est l’endroit parfait ou taper la balle sur une tête de club. Ce terme est source de bien des « digressions » marketing de certaines marques, qui voudront faire croire que leur dernière tête de driver a un sweetspot élargi. C’est tout simplement faux ! Le sweetspot a la taille d’une aiguille et ne peut pas être élargi.

Stamping : nom donné à une technique permettant de graver des lettres, chiffres, initiales… sur une tête de fer mais plus souvent une tête de wedge.

T

 

 

Talon : c’est la zone de la semelle du club le plus proche du shaft. Une balle frappée au talon aura les pires conséquences pour un golfeur, jusqu’à la terrible socket. Une tendance à frapper au talon peut être le signe que vos clubs ne sont pas à la bonne longueur ou ne sont pas bien équilibrés.

Toe hang : terme designant un putter qui, lorsque tenu en équilibre sur un doigt, va voir sa pointe pencher vers le sol. La plupart des putters « lame » sont toe hang et favorisent un chemin de club en arc.

Torque : c’est la résistance d’un shaft à la torsion, exprimé en degrés.
C’est parce qu’ils avaient un torque trop élevé (15°) que les shafts en Hickory ont été supplantés par les shafts acier. Et c’est aussi parce qu’ils avaient un torque trop élevé au début des années 70 qu’il faudra attendre les années 90 pour que les shafts en graphite deviennent populaires (moyenne de 4,5° aujourd’hui).

Tip : c’est la partie basse du shaft. Il y a des « tip soft » et des « tip stiff ».

Titane : matériau ayant révolutionné les drivers de golf dans les années 90 : deux fois plus léger que l’acier mais aussi résistant, il a permis de passer de têtes de driver d’un volume de 300cc à 460cc en quelques années !

U

 

 

U groove : rainure en U

V

 

 

V groove : rainure en V

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